(Sophia Bush) Le jardin d'Eden...

+ prénom & nom: Eden McOflyn + âge: 35 ans + date de naissance Inconnue + lieu de naissance: Dublin + origines Irlandaises + orientation sexuelle Hétérosexuelle + statut civil: Célibataire + situation financière: Riche + emploi/études: Inspectrice à la Gendarmerie Royale + groupe: Here from the start +  célébrité: Sophia Bush

a vie a été un ensemble de haut et de bas... Je suis née à Dublin, il y a trente cinq ans, en Irlande. Mais je n'y suis pas resté longtemps, à peine six mois. Ma mère était en réalité une prostituée de la ville et elle m'avait eu avec un client. A son accouchement, son mac lui avait demandé de se débarrasser du bébé en le jetant dans le Liffey, le fleuve de la ville. Mais ma mère eut pitié de moi et m'abandonna devant un couvent où je fus recueilli par les bonnes soeurs. Je n'avais que quelques heures et rapidement, elles décidèrent de me confier à un orphelinat qui se chargerait de me trouver une belle famille. Ce fut chose faite six mois après alors que j'étais adopté par les McOflyn, une famille irlandaise qui avait déjà un enfant issu d'une précédente adoption. Mais je ne restais pas en Irlande, le couple ayant décidé de démanger avant de m'adopter. J'ai donc grandit ici, à Kelowna. Ma famille est assez connu dans la ville car mon père est membre de l'équipe du maire depuis environ une dizaine d'année.
'ai grandit entouré de l'amour de toute ma famille, aussi bien de la part de mes parents que de mon frère et de ma petite soeur. Car j'ai eu une petite soeur. Ma mère, pourtant diagnostiqué stérile, réussit à tomber enceinte d'une petite fille alors que j'avais cinq ans. Mon frère et moi en sommes très proches même s'il nous arrivait de nous disputer pour savoir qui allait la tenir dans nos bras. Même si mon ainé et moi avons été adopté, nos parents nous considèrent comme leur propre chair et ne font aucune différence entre leur trois enfants. C'était ma principale crainte à la naissance de la petite dernière. A l'école, j'étais une élève studieuse, souvent moquée par mes camarades. A dix ans, je n'étais pas la plus populaire, trop sérieuse pour les enfants de Kelowna. Et a quinze ans, je commençais à être la risée du collège. Incapable de me défendre, trop naïve pour voir la réelle méchanceté de mes camarades, je sombrais dans la dépression. Mais une nuit, je me rendis compte que tout mes amis n'en était pas. J'avais été invité à une soirée chez ma soit disant meilleure amie. Mais rapidement, la soirée dégénéra. Alors que je comptais repartir, la soirée étant devenue trop lourde pour moi, je fus tiré dans une chambre par un garçon qui ne se gêna pas pour me violer avant que je ne réussisse à prendre la fuite sous les rires de mes camarades. Le lendemain, je tus cette histoire à mes parents. Je gardais cela secret pendant encore deux ans avant que tout n'explose. Une journée où j'avais encore été la cible de moquerie, je décidais de me rendre sur le pont qui passait au dessus du lac Okanagan. J'enjambais la rambarde pour sauter dans le fleuve quand un homme m'attrapa par la taille et me plaqua au sol. J'eus beau me débattre, il ne me lâcha pas. Aussi rapidement que possible, je me retrouvais chez mes parents après un petit passage à l'hôpital. Je racontais tous à mes parents: les moqueries, le harcèlement quotidien et même le viol que j'avais subi deux ans plus tôt.
ix huit ans ont passé depuis cette journée. Pendant cinq ans, je fus suivi par un psychologue qui m'aida beaucoup à remonter la pente au bas de laquelle j'avais échoué. Rapidement, je pus reprendre une scolarité normale mais dans un autre établissement que mon lycée habituel. Après avoir obtenu mon diplôme, je partis dans l'enseignement supérieur. Je fis deux années de droit avant de finalement trouver ma voie: la gendarmerie royale du Canada. J'avais peur de ne pas être reçu à cause de mon passé psychologique mais je réussis les tests de justesse. Je quittais donc Kelowna pour Regina, bien loin de mon lieu de résidence habituelle. Pendant deux ans, je fus une élève assidue de l'école mais je fus souvent à deux doigts d'abandonner la formation. Cependant, je tins bon grâce à ma famille. Elle me soutenait quoi qu'il arrive et je ne devais pas les décevoir. Je réussis ma formation et je pus choisir une bonne affectation et retourner vivre à Kelowna. Voilà maintenant treize ans que j'y exerce mon métier. Je suis respecté par les habitants et j'ai réussis à monter en grade rapidement, atteignant celui d'inspecteur il y a quelques mois.