you should leave me alone sloan.

Ca fait cinq minute que je suis sorti de l'hosto, c'est limite si j'ai pas envie de courir, pour m'échapper plus vite. Jsuis pas en forme, alors courir, je pense qu'on en est loin. Je sors de la chambre ravi, évite soigneusement de croiser qui que ce soit qui pourrait m'adresser la parole puis fonce vers la sortie comme si on me pistait pour me tuer. Arrivé dehors, je respire comme si j'avais été en prison, enfin, pour moi, c'était limite. Je me rue vers ma moto - Darcy me taperait à coup de batte de baseball si elle savait - et j'arrive là ou je vois une magnifique femme qui attend devant. Mon regard s'allonge, mon sourire s'affiche, vous savez, celui du grand débile qui reconnait la créature de rêve. Sloan. La fille qui a eut ma peau bien avant qu'on commence à frapper. ses yeux, ses lèvres, son sourire. Pourtant, non, je n'ai rien envisagé, enfin juste un peu, gouter à tout ça. Mais avec ma poisse je sis tombé sur une femme qui craint le toucher. Et vu que je suis trop con, pour moi, c'est encore plus attirant. C'est pas comme si j'étais franchement doué en relation humaine. Darcy dirait que sortir de ma grotte serait pas mal, j'en sors, pour amener d'autres dedans. Ah c'est sur, je tombe pas amoureux de toutes comme mon cher cousin. mais au final, toutes celles dont il tombe amoureux, le nombre, je me les envoie. sauf elle. Et c'est presque frustrant, ou entêtant, merde. J'arrive à sa hauteur, je peux pas m'empêcher de craquer sur ses longues jambes. Je souris, de nouveau, plus de façon carnassière qu'avant d'ailleurs. « Tu es consciente que tu porte des trucs qu'on aimerait déchirer d'un geste ? » Nan le tact, le savoir vivre, parfois j'oublie comment ça marche. Toute façon, avec elle, j'en pers mon latin, mon anglais, je m'appelle comment déjà ? Toute façon, je m'en fous, plus grand chose importe. Je reste figé, ça y est, mon regard s'est posé sur sa poitrine. femme, déesse incarnant cruauté, sadisme et dont le but est de fier perdre la raison aux hommes. Mon sourire se perd dans une contemplation grotesque et peu subtile.